Guide nutrition 2021

18,00

Comme chaque année depuis 2013, nous éditons le guide nutrition, dans lequel vous retrouvez, à la fois, les faits marquants de l’année et l’annuaire des professionnels de la nutrition. L’annuaire référence cette année un peu plus de 250 entreprises ainsi que les coordonnées professionnelles des responsables ruminants. 

Catégorie : Étiquettes : ,

Description

Comme chaque année depuis 2013, nous éditons le guide nutrition, dans lequel vous retrouvez, à la fois, les faits marquants de l’année et l’annuaire des professionnels de la nutrition. L’annuaire référence cette année un peu plus de 250 entreprises ainsi que les coordonnées professionnelles des responsables ruminants. 

Dans un contexte de hausse des matières premières, le débat sur l’intérêt de l’autonomie alimentaire revient au grand jour. Nous l’abordons sous l’angle d’une interview d’un spécialiste et d’un témoignage éleveur. Au chapitre des nouveautés 2020-2021, impossible de passer à côté du plan protéagineux annoncé par le ministre de l’Agriculture. Les alternatives au tout soja brésilien restent d’ailleurs le principal fait marquant de l’année.

Avec le fleurissement des filières bas carbone, le soja  cultivé en Amérique du Sud a du souci à se faire. Dans ce numéro, nous vous présentons des initiatives privées. Celles-ci proviennent d’éleveurs ou de professionnels de la nutrition. C’est notamment le cas de mon BB Lait, une action initiée par l’Organisation de producteurs Bel de l’Ouest de la France (APBO). Soucieux de démontrer l’intérêt environnemental de l’élevage, ces derniers se sont lancés dans une démarche de lait “bas carbone”, où le colza remplace le soja. En Bretagne, Valorex, Euredenn et Tromelin Nutrition s’allient pour favoriser la production de protéagineux. Les fabricants d’aliments ne sont pas en reste. Les coopératives Agrial ( à travers sa marque Tanor) et Novial pour YseO et Capvert (marque OZE) peuvent désormais formuler un aliment qui émettra moins de gaz à effet de serre (GES). Grâce à un calculateur développé par Wisium, ces entreprises formulent des aliments, aux performances zootechniques vérifiées et qui émettent moins de GES. Certaines filières ou démarches qualités s’inscrivent dans cette logique. Nul doute que le soja brésilien ne trouvera plus sa place dans ces formulations.

Les professionnels de l’élevage se saisissent du dossier à bras le corps et multiplient les initiatives.