Le dernier numéro d’Élevages Caprins est sorti

La prochaine édition d’É​levages Caprins Magazine sera dans la boîte aux lettres de ses abonnés le 17 septembre 2020.

Au sommaire de ce numéro, un reportage dans l’Indre-et-Loire à l’EARL de la Haute Piltère. Les éleveurs ont fait construire une chèvrerie en bois de 350 places avec 4 aires paillées séparées par 2 couloirs d’alimentation. Ils ont misé sur deux bâtiments bipente à la place d’un grand bipente pour favoriser une bonne circulation de l’air. Le toit est isolé, les ouvertures sur le côté sont multiples. Résultat, les chèvres restent au frais et les effets de la canicule sont quasi inexistants. Après deux étés de recul, les éleveurs témoignent.
En rubrique alimentation, le lecteur pourra découvrir les nouveautés de l’année. En gestion, retour sur le bilan du contrôle laitier. Un article permet de se familiariser avec les caractéristiques de la filière bio.
Les abonnés pourront également retrouver les rubriques habituelles de leur magazine : Euro Dairy Ex-Press, les tableaux de bord et la revue de presse.
Pour en savoir plus, abonnez-vous à Élevages Caprins Magazine !
Au sommaire également de ce numéro :
Des chevreaux en bonne santé grâce à Noviphyt
La société bretonne Bioarmor a créé le Noviphyt pour favoriser l’hygiène digestive des chevreaux nouveaux-nés. Ce dernier est constitué d’un noyau d’huiles essentielles, de charbon végétal pour capter de façon optimale les toxines présentes chez les jeunes animaux, et de levures de bière participant à l’équilibre digestif.
Pluie de médailles à l’EARL Chevreau
2020 restera une année à part pour Rachel et Aurélien : une année forte en émotions sur le plan professionnel. Tout commence en février dernier avec leur participation au Salon de l’agriculture. En 2019, ils avaient déjà obtenu une médaille de bronze pour l’une de leurs créations fromagères, une brique cendrée, baptisée Chanteloup. Cette récompense leur avait permis de faire progresser leur chiffre d’affaires de 20 %. La moisson 2020 a été encore plus généreuse puisqu’ils sont revenus de Paris avec le plein de médailles.

 

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La part des femmes est « proportionnellement très importante dans l’élevage de gros animaux (46,6 %) ».