Grands Troupeaux Magazine Le magazine d'élevage qui voit grand

En mars 2025, les prix d’achat des intrants pour l’activité agricole ont reculé de 0,5 % sur un mois et de 1,9 % sur un an, selon Agreste et son suivie de l' Ipampa (1).

À l’échelle européenne, selon Bruxelles, le prix du beurre reste à un niveau très élevé, même s’il a légèrement fléchi depuis fin avril. Il atteint 724 €/100 kg au 14 mai.

En mars 2025, selon Agreste, la collecte de lait de vache en France poursuit son repli, avec une baisse de 1,3 % par rapport à mars 2024.

En 2025, la culture du maïs fourrage reculerait fortement pour atteindre 1,21 million d’hectares, soit son plus bas niveau depuis plus de 30 ans.

En 2024, 27 020 exploitations laitières ont déclaré un total de 1 791 114 lactations qualifiées, marquant une baisse de 6 % du nombre d’exploitations et de 4,7 % des lactations par rapport à l’année précédente. Ces chiffres confirment une tendance structurelle à la concentration des élevages, observée depuis plusieurs années.

Les éleveurs ayant subi des pertes peuvent faire une demande d'indemnisation auprès de la FMSE (Fonds national agricole de mutualisation du risque sanitaire et environnemental).

La filière bovine traverse un début d’année 2025 contrasté, marqué par une baisse de la consommation et une tension persistante sur l’offre, entraînant une hausse généralisée des cours.

De mars 2024 à mars 2025, selon la commission agricole de l'Union Européenne, le prix du lait a progressé en moyenne de 14,6 %.

Les quatre fédérations d’éleveurs de ruminants (FNEC, FNPL, FNO, FNB) réalisent une enquête sur la place de la formation des salariés.

En février 2025, selon FranceAgrimer, la collecte française de lait de vache s’est élevée à 1,82 milliard de litres, en recul de 2,3 % par rapport à février 2024.

En avril, le Département de l'Agriculture des États-Unis (USDA) a signalé aujourd'hui 15 nouveaux cas de grippe aviaire H5N1 chez des vaches laitières dans l'Idaho, qui est devenu ces dernières semaines l'épicentre de l'activité virale dans le pays.

FranceAgriMer a dressé un bilan de la progression des alternatives végétales aux produits laitiers.  Celles-ci progressent mais restent marginales.

Au 20 avril 2025, la production d'herbe des prairies permanentes en France métropolitaine est supérieure de 32 % à la moyenne de référence (1989-2018).

En 2025, le prix de l'herbe sur pied s'affiche à environ 60 €/t de MS  (tonne de matière sèche).

Biolait a décidé d'engager des mesures collectives visant une augmentation de 10 % du prix du lait payé aux producteurs, avec pour objectif de dépasser les 500€/1000L dès 2025.